Monument de Rivière-Ouelle

Le 18 septembre 2004, les 150 participants au rassemblement annuel à Rivière-Ouelle se sont regroupés au cimetière paroissial pour le dévoilement de la plaque souvenir et l'inauguration du monument commémoratif. Le président Richard mit en évidence l'importance du geste posé en cette circonstance : « Depuis des millénaires, les hommes et les femmes laissent des traces tangibles de leur présence sur la terre où ils ont vécu. Partout à travers le monde, de vieilles pierres et des monuments commémoratifs rappellent le passage de nos nombreux devanciers. Les Dubé d'Amérique, soucieux de leurs origines et de leur histoire se sont réunis en association afin de retracer les racines communes et les migrations des familles et de témoigner de leur présence.

Aujourd’hui, en inau­gurant ce monument et en dévoilant la plaque souvenir, nous posons un geste de commémo­ration, le plus important peut-être depuis la fondation de notre association, parce que c’est d’ici à Rivière-Ouelle que les enfants de Mathurin et de Marie ont fondé famille et que les rameaux du grand arbre ont commencé à se déployer. Saint-Jean-de-l’Île-d’Orléans a donné naissance au premier clan Dubé, il en fut le nid. Rivière-Ouelle et ses environs a permis l’installation des cinq enfants et le fabuleux provignement des Dubé d’Amérique. Notre ancê­tre, Mathurin Dubé, a vécu environ 30 ans sur les rives du Saint-Laurent. Il avait 34 ans à son arrivée à Québec, il s’est marié à la veille de la quaran­taine. Il était âgé de 55 ans au moment de son déménagement près de Rivière-Ouelle. à sa mort, il avait environ 65 ans.

Aujourd'hui, en inau­gurant ce monument et en dévoilant la plaque souvenir, nous posons un geste de commémo­ration, le plus important peut-être depuis la fondation de notre association, parce que c'est d'ici à Rivière-Ouelle que les enfants de Mathurin et de Marie ont fondé famille et que les rameaux du grand arbre ont commencé à se déployer. Saint-Jean-de-l'Île-d'Orléans a donné naissance au premier clan Dubé, il en fut le nid. Rivière-Ouelle et ses environs a permis l'installation des cinq enfants et le fabuleux provignement des Dubé d'Amérique. Notre ancê­tre, Mathurin Dubé, a vécu environ 30 ans sur les rives du Saint-Laurent. Il avait 34 ans à son arrivée à Québec, il s'est marié à la veille de la quaran­taine. Il était âgé de 55 ans au moment de son déménagement près de Rivière-Ouelle. à sa mort, il avait environ 65 ans.

La plaque commémorative rappelle en raccourci les lieux et les dates rattachés à Mathurin et Marie et à leurs cinq enfants, Mathurin fils, Madeleine, Louis, Pierre et Laurent. Les voyageurs et les visiteurs qui s’attarderont ici même à l’entrée de ce cimetière pourront relire ces bribes d’histoire en se disant qu’avant eux, au 17ème siècle, un Dubé a planté ses racines en Amérique. à vous tous qui passerez en ce lieu, rappelez-vous qu’un fils de Vendée et une jeune fille du Roy ont donné naissance à une prolifique lignée. Leurs noms sont à jamais gravés dans le bronze.».

Charles-Henri Dubé, président fondateur, s’est par la suite adressé aux Dubé réunis avant de dévoiler le monument : « Voici un grand moment dans la vie de notre association. C’est un jour mémorable dans l’histoire de notre belle et grande famille. Car nous voulons rendre hommage à notre ancêtre Mathurin, à sa femme Marie Campion et à ses fils qui ont fait souche ici même à Rivière-Ouelle. Rendons hommage aussi à tous leurs descendants et à leurs compagnes qui ont répercuté le nom de notre famille aux quatre coins de l’Amérique. Remercions et félicitons de tout cœur tous ceux et celles qui ont contribué à la réalisation de cet événement. Et maintenant, place à ce monument, témoin de notre fidélité à nos ancêtres ».

C’est la générosité exceptionnelle de plusieurs membres de l’Association qui, par leurs dons au fonds de commémoration, ont permis la mise en place de ce monument. De nombreux visiteurs à cet endroit, où se trouvent aussi d’autres monuments commémoratifs consacrés aux familles pionnières de la région, en profitent pour consacrer une minute de réflexion à la mémoire de nos premiers ancêtres et se faire photographier à proximité du monument.