La vie de pionniers à Saint-Hubert de Rivière-du-Loup

Mon arrière-grand-père Louis ne se doutait pas que ses fils et petits-fils allaient s’éreinter pendant plus de vingt ans à épierrer les terres choisies à la va-vite sur le rang 2 du canton Demers à Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup.

Le village est bien connu pour son sol pierreux. Son conseil municipal s’est adressé au ministre de la Colonisation en 1934 pour permettre aux colons d’entretenir leurs terres plutôt que d’aller aux «chantiers». «Pour avoir à nouveau de bonnes récoltes, avaient écrit les conseillers, il faudrait que nos gens arrachent ces souches, ramassent les roches, car nos terres sont généralement bonnes, mais rocheuses, et ce travail d’érochage et de premier labour est beaucoup plus long dans les terrains comme les nôtres.»


Des nouvelles de l'Association (fictif)

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